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Lâcher les blessures chéries - Dr Laskow, Holoenergetic

Blessures "chéries"

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Considérez le paradoxe de la formule « blessure chérie ». Pourquoi chérir une blessure ? En quoi pourrait-elle avoir une quelconque valeur ?

Outre le fait d’être l’excuse parfaite pour justifier nos défauts actuels, c’est l’IDENTIFICATION à l’histoire qui brouille la distinction entre la Présence consciente que nous sommes réellement, et la personnalité du petit moi que nous pensons être. Qui serais-je sans mon histoire ? Quel sens ma vie aurait-elle sans cette blessure chérie ? Ce n’est pas une question futile. En vous préparant à la liberté que le pardon promet, êtes-vous prêt à vivre une telle liberté ? Êtes-vous prêt à être quelqu’un et quelque chose d’autre que cette histoire limitante ?

Dr Leonard Laskow

Image de Christopher Windus

Qui seriez-vous
sans vos "blessures chéries" ?

Extrait du livre : Par Don d'Amour

 

À un niveau plus subtil, songez au « jus » que nous récoltons de la négativité – des commérages, des amis compatissants, des fantasmes secrets de revanche ou de rétribution. Pourquoi les gens regardent-ils les programmes de télé-réalité mettant en scène des personnes dysfonctionnelles ? Pourquoi écoutent-ils des commentateurs politiques opposés qui les rendent furieux ? Pourquoi certains d’entre nous « aiment-
ils détester » ?

Sommes-nous prêts à lâcher ces schémas habituels ? Sommes-nous prêts à vivre dans le bien-être et la sérénité ?

 

Les blessures chéries peuvent prendre également d’autres formes, comme l’attachement à des êtres chers décédés, ou des préjudices datant de plusieurs générations. Nous brandissons peut-être encore la bannière de « notre peuple », quel qu’il soit.

 

Il n’y a aucun jugement à porter sur ces attachements. Cela fait partie de la condition humaine (c’est-à-dire, du conditionnement humain), d’apprendre dès l’enfance lorsque nous nous blessons et commençons à pleurer, que nous pouvons attirer l’attention de ces grandes personnes si puissantes – et peut-être même utiliser cette blessure pour obtenir ce que nous voulons. Cependant, l’évolution humaine – individuelle et collective – nous apprend, en définitive, qu’il n’y a aucun intérêt durable à rester faible et sans défense.

Image de Christian Papaux

Le pardon, nous libère
de tout attachement au passé

Extrait du livre : Par Don d'Amour

 

Considérons quelques habitudes, caractéristiques, traits et manières d’être, qui nous maintiennent dans l’illusion de la séparation :


La culpabilité
La culpabilité peut résulter d’un méfait que vous avez commis, mais peut rapidement se rigidifier en une colère intérieure qui se retourne contre soi. Associer la culpabilité et la colère peut sembler étrange, néanmoins, il convient de remarquer que nous éprouvons de la colère lorsque nous sommes pris en défaut. Et puisque nous avons probablement commis ce méfait, nous ne nous sentons pas en droit d’éprouver de la colère, laquelle se retourne alors contre nous-mêmes.


La honte

La honte est encore plus profonde que la culpabilité, car elle concerne qui vous êtes plus que ce que vous avez fait. La culpabilité dit : « J’ai fait quelque chose de mal. » La honte dit : « Je suis une mauvaise personne. » C’est une raison de plus pour choisir
le Jeu de l’Éveil, afin de reconnaître l’être que nous sommes véritablement.


L’apitoiement

Ce désir de déplorer sa propre condition cache mal un désir d’auto-punition qui, en réalité, est souvent un désir de blesser ou de punir quelqu’un d’autre, à travers cette punition que l’on s’inflige à soi-même. C’est étroitement lié au martyre qui souffre
pour obtenir de la sympathie.

La peur

Lorsque nous craignons pour notre sécurité ou notre bien-être, nous nous réfugions dans la protection. Nous évitons toute confrontation avec quoi que ce soit – avec une situation qui nous a fait souffrir ou la souffrance potentielle d’un méfait qui serait révélé.
La peur entraîne une expérience de contraction et de séparation. La peur, signal d’alerte en cas de danger imminent, est biologiquement nécessaire pour assurer notre survie. Toutefois, si nous éprouvons souvent de la peur chronique et de l’anxiété, nous projetons des conditions et situations passées sur le futur.


Le doute

Shakespeare a appelé le doute « le plus grand traître de tous ». Le doute ébranle notre confiance et notre foi dans l’invisible qui, comme nous sommes en train de l’apprendre, est le domaine où demeure notre nature essentielle.


Remarquez-vous ce que tous ces schémas comportementaux ont en commun ? Ils sont tous liés au passé. Comme dit Eckhart Tolle, dans l'instant présent, il n'y a aucun problème – il y a juste "ce qui est". La liberté, c’est être dans le présent. Lorsque nous nous libérons du passé grâce au pardon, nous sommes présent, par la présence. La Vie s'offre à nous en se renouvelant perpétuellement, d’un instant à l’autre.

"Par Don d'Amour est un cadeau du ciel pour l'Humanité, et en tant que tel, une contribution importante à l'évolution de l'être humain. Le monde recherche un chemin passant par le Coeur. Cet ouvrage le révèle."

Dr Judith Larken Reno, PhD

fondatrice de la Gateway University

Par Don d'Amour - Dr Laskow
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