Pardon & acceptation
L’acceptation est une première étape fondamentale du processus de pardon. Lorsque nous acceptons une situation donnée, nous libérons l’énergie que nous avions préalablement utilisée pour nier, refouler ou faire des projections. L’acceptation de la vérité permet à nos sentiments douloureux de remonter pour être guéris et libérés.
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Finalement, lorsque nous nous aimons et que nous nous acceptons inconditionnellement nous-mêmes — exactement tels que nous sommes — nous sommes libres d’Être, tout simplement.
Donc, ce n’est pas simplement accepter qui confère la liberté : c’est accepter la vérité de "ce qui est", et la vérité de ce que nous ressentons. L’acceptation inconditionnelle de "ce qui est", voilà ce qu’est l’amour.
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Dr Leonard Laskow
Pardonner, c'est lâcher tout attachement
au passé, pour votre propre croissance
et votre évolution
Extrait du livre : Par Don d'Amour
Le pardon envers nous-même est l’un des moyens les plus puissants dont nous disposons pour révéler notre nature essentielle et laisser briller notre lumière intérieure. Grâce au pardon, nous pouvons expérimenter la liberté, la vérité, l’amour et la paix.
Peut-être vous demandez-vous où se trouvent cette liberté, cette vérité, cet amour et cette paix ? À l’intérieur. Il s’agit de ce qui se passe à l’intérieur de vous-même. A l'intérieur de vous, qui accordez le pardon. Donc, finalement, le pardon ne concerne personne d’autre que vous-même, même si c’est une erreur de perception très répandue.
Les coupables ont besoin de se pardonner à eux-mêmes. Cependant, comme vous êtes reliés de façon non-locale, lorsque vous les libérez par votre pardon, ils peuvent le ressentir. En d'autres termes, puisque nous sommes tous interconnectés, et réellement intriqués au niveau de la conscience, lorsque nous changeons, la relation évolue.
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Le Pardon est une question
de lâcher prise
Extrait du livre : Par Don d'Amour
Lâcher prise de quoi ? De notre attachement au passé, de notre attachement à nos ressentiments, rancunes et colères. C’est lâcher prise de notre attachement au jugement, au blâme, à la honte et à la culpabilité, lâcher notre souffrance et notre perte, abandonner notre perspective de victime-persécuteur, et surtout lâcher notre identification à l’histoire. C’est lâcher l’histoire d’abandon, d'abus ou de trahison, et le besoin de contrôle par le biais de la colère et de jugements iincessants.
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Fondamentalement, le pardon implique de lâcher la charge entourant le souvenir, de sorte qu'il n’y ait plus de réaction émotionnelle lorsque l'on se souvient de ce qui s'est passé autrefois, mais seulement le souvenir lui-même. Alors, on est enfin libre – libre d’aimer et libre d’être.
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Le pardon guérit cette séparation de notre lumière intérieure – de notre présence aimante – en dissolvant les voiles constitués de nos perceptions et croyances conditionnées. Lorsque nous cessons de nous identifier à notre histoire, lorsque nous lâchons l’illusion d'être cette histoire, faite d’expériences et de souvenirs, lorsque nous lâchons réellement cette illusion, il ne reste plus que l’amour.
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